Les zébrures du passage fondent dans la flaque noire
Reflet à peine mouvant de piles et tabliers
Obscur labyrinthe
Je vois un gouffre s’ouvrant sur des abysses d’étain et de mercure
L’envers paisible devant mes pieds
L’endroit fourmille bruyant et puant, tours et rocades en spirale, des niveaux et entre deux, des passerelles, des escaliers.
Se perdre dans ce décor ou se mouiller dans ce miroir.
Je saute sous terre à l’abris des choix protéger par le métropolitain.Aujourd’hui que le ciel a coulé j’ai tenté de retrouver un fossé boueux pour le photographier.
Échec.
Il ne me reste que cette empreinte rétinienne à partager.
Ce n’était qu’une flaque.
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